Saturday, October 29, 2011

New York, mon amour

Time flies.

Est-il déjà venu le temps de te quitter ?

Ma boule au ventre est revenue ce matin. Sans crier gare, elle s’est installée là, juste sous mes seins encore brulants de tes caresses inoubliables. Je n’arrive pas à croire ce que je ressens pour toi. A peine quelques mois que l’on se côtoie, je ne peux déjà plus me passer de toi, envie de toi à chaque instant, drogue, j’aimerais ne plus dormir pour pouvoir t’enlacer sans cesse, je voudrais pouvoir t’effleurer de mes doigts tout doucement, des heures, te mordre et te susurrer que je t’aime. Accroc. J’ai tellement envie que tu me prennes encore, encore.
Soyons fous, séparons-nous, promis, juste l’espace d’un instant. Deux semaines dans une vie, c’est comme une poussière sur la lune. Invisible et pourtant.
En réalité, j’aime bien cette idée de m’éloigner de toi. Penser à toi, du bout du monde, me souvenir de tous nos instants de complicité, magiques et t’imaginer dans les bras d’une autre. Je te hais.
Ce matin, je t’ai abandonné avec l’aube, tu dormais encore, plus beau que jamais, la sueur de cette nuit encore posée sur ton corps. Je t’ai embrassé une dernière fois, tu ne le sais pas. De toute façon, tu n’es pas à moi. Infidèle. Elles t’aiment toutes mais je m’en fous, j’ai ma part, la meilleure, je le sais, je l’ai lu dans tes yeux. Tu m’aimes. 

Je t’aime aussi. Embrasse-moi.

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