Thursday, September 22, 2011

Tralala


New York Je t'aime, tu l'aimes, il l'aime, nous l'aimons, vous l'aimez, ils l'aiment
Qui ne l'aime pas franchement?

Mis à part quelques camions-poubelles, un petit coup de Monsieur Propre dans le métro, un cours de parlez doucement mesdemoiselles et un peu plus de bons desserts dans les restos, je ne vois pas (encore) de défauts majeurs à cette ville.

Il faut vraiment être difficile ou dépressif pour ne pas trouver son bonheur à New York.

Le plus beau ici : les gens. On croise le monde entier à New York.
Un peu comme dans une bulle protégée des ravages du monde et de la bassesse humaine, New York est un petit cocon où je me sens bien, protégée, surprise sans cesse au détour d'une rue, un trajet de métro, sans cesse de belles rencontres, une émotion sans fin.

Ville sportive, artistique, électrique, survitaminée parfois fatigante, on a comme l'impression que tout se passe à New York. Plus besoin d'aller où que ce soit, le monde vient à toi, Gaspard Ulliel? présent, Johnny Depp? présent, Obama? présent, musique, cinéma, intellos, légendes, qui que ce soit ça marche à tous les coups, pouf on tombe dessus à New York, trop facile.

Et puis, même perdu tout seul sans avoir envie de voir personne, sans argent, New York est comme un pansement à toutes les blessures passées, présentes et futures. On s'en sortira, on apprendra, on tombera, on se redressera, on grandira, et on pourra faire de belles choses...

Comment une simple ville peut faire autant de bien?

Mystère, je ne sais pas vraiment.

Ma seule réponse en cette aube de x jours de pluies : les New-Yorkais, une poignée de gens venus d'ailleurs dont le monde devrait s'inspirer un peu plus souvent.

1 comment:

  1. vous avez un joli coeur mademoiselle

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