Tuesday, February 8, 2011

Yes we can

Lorsqu'on évoque New York, on voit défiler ces images de yellow cabs, d'égouts qui fument, de Central Park, de Time Square, de L'Empire State, de la statue de la Liberté et tout un florilège de lieux dont on a été bercés qu'on le veuille ou non.
Une fois plongé dans ce décor, bien plus que la magie du lieu, on se retrouve envahi par une énergie incroyable véhiculée par le punch de tous ces gens que l'on croise à chaque instant.
New York, ville en ébullition. Hippies, golden boys, rappeurs, latinos, asians, white collars, artistes de tous horizons, tous se mélangent pour former un véritable melting pot.
Et oui, cette ville a été construite, soudé, martelé par des vagues d'immigrants en quête de rêve et de vie meilleure, la voilà son secret. Cet état d'esprit perdure au fil des années et ne semble pas être prêt à se perdre, au contraire puisque c'est contagieux.
Entre n'importe quel vendeur qui vous dira "Hello how are you doing?", les mendiants souriant à pleine dents qui vous souhaiteront "A good day", les doormans, personnel d'entretien et simples passants qui vous racontent leur vie, vous donnent des bons plans, vous souhaitent la bienvenue, vous aiguillent dans la ville, vous disent que vous êtes chics et jolis, on croit rêver.

C'est vrai, je suis un peu un bisounours, je ne vois peut-être que le bien, dans mon euphorie des premiers jours, mais là franchement la part de bien me semble bien plus grande que la laideur humaine que j'ai pu croiser auparavant. Pourvu que ça dure!

2 comments:

  1. Ce matin j'ai pris le métro après une semaine de vacances... Ben j'avoue que j'aurais bien aimé un peu plus de joie de vie et de bonne humeur!

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